Écoles, commerces, habitations, lieux publics, bureaux, la propreté influe sur notre cadre de vie, que ce soit dans les milieux professionnels que personnels. Le secteur d’activité de la propreté et des services associés est essentiel et joue un rôle important dans le développement durable.
Depuis plusieurs années, la propreté est un secteur en tension, où les entreprises peinent à recruter. Pourtant, la filière a plus d’un atout dans son sac. Chaque année, les entreprises de propreté ont environ 38 000 postes à pourvoir en contrats à durée indéterminée (CDI), dont 16 000 à temps plein.
Agent d’entretien et de rénovation, agent de propreté, laveur de vitres en hauteur, chef d’équipe, technicien de traitement des déchets, animateur QSDD (qualité, sécurité et développement durable), etc. Les métiers sont nombreux et variés, et contrairement aux idées reçues, requièrent de plus en plus de professionnalisme et de spécialisations. Les agents de propreté sont aujourd’hui de vrais techniciens.
Malgré tout, la profession est ouverte aux jeunes sans diplôme. Les différents métiers de la filière peuvent s’apprendre en interne via la formation continue, nommée certificat de qualification professionnelle (CQP), que par des formations allant du CAP au Bac+5. La formation continue peut également permettre à ceux qui le souhaitent de rapidement évoluer dans l’entreprise.
C’est un secteur d’activité qui existe partout en France, mais aussi dans des univers variés : le milieu scolaire, les immeubles, l’industrie, le commerce, la santé, les transports, et bien d’autres. Selon l’univers où la profession est exercée, le professionnel peut tenir des rôles enrichissants. Le lien social peut être un élément très important, comme le défi écologique.
Garant du cadre de vie et de travail, le secteur de la propreté et des services associés est essentiel dans notre société.
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